Partition
Quid retribuam tibi
Joseph MICHEL
(1679-1736)
Référence : CAHIERS-90
Format :
21x29,7 cm
Reliure : Broché
22,20 € TTC
En stock
Joseph MICHEL
(1679-1736)
Editeur(s) :
Michel CUVELIER
Collection :
Chœur et orchestre
Type d’édition :
Conducteur
Maison d'édition :
Editions du Centre de musique baroque de Versailles
Présentation :
Joseph Michel (1679-1736) fait ses études musicales sous la direction de Pierre Menault à Saint-Étienne de Dijon, où il a cotoyé le jeune Jean-Philippe Rameau. Il est nommé à la Sainte-Chapelle de Dijon en 1709.
Le Quid retribuam tibi, dans le style du grand motet versaillais, est destiné à célébrer un événement heureux touchant l'État ou la famille royale. Il s'appuie sur un texte d'action de grâce reprenant quelques citations de psaumes et deux poésies latines de Pierre Portes. Cette pièce nécessite un petit chœur à 5 voix (deux dessus, haute-contre, taille et basse) un grand chœur à 5 voix également (dessus, hautes-contre, tailles, basses-taille et basses) et un orchestre à la française qui ne comporte qu'une partie d'alto (2 flûtes, 2 hautbois, basson, violons I-II, hautes-contre de violon, et basse-continue). Divisée en cinq mouvements, l'œuvre s'attache à suivre au plus près l'expression du texte. Le récit de haute-contre de forme rondo, à la mélodie simple, est suivi d'un chœur fugué. Le duo pour deux dessus offre un moment de calme et de recueillement qui s'amplifie dans un trio pour voix d'hommes avec basson obligé. Le dernier chœur, tout en puissance, dégage une belle énergie régulièrement interrompue par l'entrée du petit chœur.
Les diverses facettes du talent de Joseph Michel, qui sont ici manifestes, devaient le conduire à occuper une des fonctions les plus prestigieuses du royaume. Un texte, daté de 1736, nous apprend qu'il allait être nommé à la chapelle royale de Versailles. Son décès prématuré coupa court à l'ascension de ce « Delalande dijonnais », comme l'appelaient ses contemporains.
Le Quid retribuam tibi, dans le style du grand motet versaillais, est destiné à célébrer un événement heureux touchant l'État ou la famille royale. Il s'appuie sur un texte d'action de grâce reprenant quelques citations de psaumes et deux poésies latines de Pierre Portes. Cette pièce nécessite un petit chœur à 5 voix (deux dessus, haute-contre, taille et basse) un grand chœur à 5 voix également (dessus, hautes-contre, tailles, basses-taille et basses) et un orchestre à la française qui ne comporte qu'une partie d'alto (2 flûtes, 2 hautbois, basson, violons I-II, hautes-contre de violon, et basse-continue). Divisée en cinq mouvements, l'œuvre s'attache à suivre au plus près l'expression du texte. Le récit de haute-contre de forme rondo, à la mélodie simple, est suivi d'un chœur fugué. Le duo pour deux dessus offre un moment de calme et de recueillement qui s'amplifie dans un trio pour voix d'hommes avec basson obligé. Le dernier chœur, tout en puissance, dégage une belle énergie régulièrement interrompue par l'entrée du petit chœur.
Les diverses facettes du talent de Joseph Michel, qui sont ici manifestes, devaient le conduire à occuper une des fonctions les plus prestigieuses du royaume. Un texte, daté de 1736, nous apprend qu'il allait être nommé à la chapelle royale de Versailles. Son décès prématuré coupa court à l'ascension de ce « Delalande dijonnais », comme l'appelaient ses contemporains.
Pagination :
59
Date de parution :
2003-12
Introduction (langue) :
Français
ISMN 979-0-56016-090-0
Les œuvres
Langue du texte :
Latin
Genre :
motet
Temps liturgique :
Psaume 115
Ton :
La Majeur
Durée :
entre 20' et 29'