Partition
Messe des morts
Jean GILLES
(1668-1705)
Nouveau
Référence : CAHIERS-329
46,00 € TTC
Indisponible
Jean GILLES
(1668-1705)
Editeur(s) :
Julien DUBRUQUE
Collection :
Chœur et orchestre
Type d’édition :
Conducteur
Maison d'édition :
Editions du Centre de musique baroque de Versailles
Cette référence comprend :
1 ex. Conducteur
Présentation :
Ce Requiem connait la même destinée en France que le Stabat mater de Pergolèse dans toute l’Europe : il acquiert la réputation d’être le chef-d’œuvre d’un compositeur talentueux et mort trop jeune. Il se fait entendre aux quatre coins du royaume, indépendamment de la légende qui entoure sa création. Comme toute œuvre célèbre, chacun l’arrange selon ses besoins. Il fut ainsi exécuté pour les funérailles de Rameau, ou encore de Louis XV, respectivement en 1764 et 1774. Julien Dubruque, éditeur scientifique de la partition, a patiemment comparé toutes les sources. L’étude génétique ne permet pas de retrouver des variantes significatives, il faut donc, parmi toutes les options qui s’ouvrent, choisir celle qui semble la plus probable selon les données actuellement connues.
Jean Gilles nait à Tarascon, le 8 janvier 1668. Il reçoit son éducation musicale à la maîtrise de la cathédrale Saint-Sauveur à Aix-en-Provence, auprès de Guillaume Poitevin, auquel il succède en 1693. Il quitte ce poste en 1695 pour Saint-Étienne d’Agde, puis, en 1697, Saint-Étienne de Toulouse, où il meurt le 5 février 1705, âgé de seulement trente-sept ans. Une poignée d’œuvres assurent sa réputation, surtout posthume : la Messe des morts, dont la légende veut qu’elle ait été créée pour ses propres funérailles, mais aussi ses motets Diligam te et Beatus quem elegisti, qui circulent abondamment en France, et ce jusqu’à la fin du XVIIIe siècle.
Le Centre de musique baroque de Versailles publie en version numérique la Messe des morts de Jean Gilles. C’est l’une des partitions les plus célèbres du baroque français mais aussi une œuvre qui, de par l’immense succès qu’elle connut dès le XVIIIe siècle, a été abondamment arrangée à toutes les occasions. L’éditeur du volume, Julien Dubruque, a réalisé un travail exhaustif de
comparaison des nombreuses sources pour proposer une version aussi proche
que possible de la création de l’œuvre.
comparaison des nombreuses sources pour proposer une version aussi proche
que possible de la création de l’œuvre.
Ce Requiem connait la même destinée en France que le Stabat mater de Pergolèse dans toute l’Europe : il acquiert la réputation d’être le chef-d’œuvre d’un compositeur talentueux et mort trop jeune. Il se fait entendre aux quatre coins du royaume, indépendamment de la légende qui entoure sa création. Comme toute œuvre célèbre, chacun l’arrange selon ses besoins. Il fut ainsi exécuté pour les funérailles de Rameau, ou encore de Louis XV, respectivement en 1764 et 1774. Julien Dubruque, éditeur scientifique de la partition, a patiemment comparé toutes les sources. L’étude génétique ne permet pas de retrouver des variantes significatives, il faut donc, parmi toutes les options qui s’ouvrent, choisir celle qui semble la plus probable selon les données actuellement connues.
Jean Gilles nait à Tarascon, le 8 janvier 1668. Il reçoit son éducation musicale à la maîtrise de la cathédrale Saint-Sauveur à Aix-en-Provence, auprès de Guillaume Poitevin, auquel il succède en 1693. Il quitte ce poste en 1695 pour Saint-Étienne d’Agde, puis, en 1697, Saint-Étienne de Toulouse, où il meurt le 5 février 1705, âgé de seulement trente-sept ans. Une poignée d’œuvres assurent sa réputation, surtout posthume : la Messe des morts, dont la légende veut qu’elle ait été créée pour ses propres funérailles, mais aussi ses motets Diligam te et Beatus quem elegisti, qui circulent abondamment en France, et ce jusqu’à la fin du XVIIIe siècle.
Date de parution :
2024-05
Introduction (langue) :
French/English
ISMN 979-0-56016-329-1