Partition
Motet à un dessus avec symphonie
François COLLIN DE BLAMONT
(1690-1760)
Référence : CAHIERS-160
Format :
21x29,7 cm
Reliure : Broché
14,60 € TTC
Livraison + 2 semaines
François COLLIN DE BLAMONT
(1690-1760)
Collection :
Voix soliste / ensemble vocal
Type d’édition :
Conducteur
Maison d'édition :
Editions du Centre de musique baroque de Versailles
Présentation :
François Colin de Blamont (ou Collin de Blamont) est né en 1690 à Versailles de parents musiciens (tous deux ordinaires de la Musique du roi). Son apprentissage est confié à Lalande, ami de son père. Il participe, comme Bernier, aux concerts donnés par la duchesse du Maine à Sceaux et, dès 1709, entre au service de la Cour : haute-contre des choeurs de la Chapelle royale, puis taille à la Chambre du roi en 1717. Deux ans plus tard, il reprend la charge de Surintendant de la Musique de la Chambre du roi (celle du fils Lully) aux côtés de Destouches. Il écrit pour l’Académie royale de musique et, par ses charges, pour les divertissements de cour que suscitent les mariages et naissances qui marquent le début du règne de Louis XV. À la mort de Lalande, il partage, toujours avec Destouches, la responsabilité de l’éducation des Pages. Il participe également aux fameux Concerts de la reine que Marie Leczynska remet au goût du jour. En 1732, l’exécution de son Te Deum, souvent repris durant tout le 18e siècle, participe à la querelle de préséance qui oppose les musiciens de la Chambre à ceux de la Chapelle du roi. C’est à partir de 1744 qu’il se retire progressivement de ses charges au profit de François Francoeur et Bernard de Bury, son filleul et protégé. Il est encore sollicité par la Cour, notamment pour le mariage du Dauphin (le futur Louis XVI) et les représentations de la marquise de Pompadour sur son Théâtre des Petits-Appartements. Dans les années 50, retiré de la Cour du fait de sa santé, il participe encore à la Querelle des Bouffons. Il meurt en 1760 à Versailles, anoblit et décoré du cordon de l’ordre de Saint-Michel par Louis XV.
Ce volume contient un motet qui date probablement des années 1730. Le très beau texte anonyme, Attende anima æterna, est conçu comme un dialogue de l’âme et de son Créateur. Le motet est chanté par une soprano accompagnée par deux violons et la basse continue auxquels s’ajoute une partie d’alto pour les belles “symphonies” qui entrecoupent l’oeuvre. L’effectif par partie, laissé au choix de l’interprète, suggère un petit ensemble instrumental.
Ce volume contient un motet qui date probablement des années 1730. Le très beau texte anonyme, Attende anima æterna, est conçu comme un dialogue de l’âme et de son Créateur. Le motet est chanté par une soprano accompagnée par deux violons et la basse continue auxquels s’ajoute une partie d’alto pour les belles “symphonies” qui entrecoupent l’oeuvre. L’effectif par partie, laissé au choix de l’interprète, suggère un petit ensemble instrumental.
Pagination :
27
Date de parution :
2008-07
Introduction (langue) :
Français
ISMN 979-0-56016-160-0
Les œuvres
Auteur texte :
ANONYME
Langue du texte :
Latin
Genre :
motet
Temps liturgique :
Dialogue de l'âme
Ton :
sol mineur
Durée :
entre 10' et 19'