Partition
Magnificat Septimi toni (1641)
Artus AUX-COUSTEAUX
(vers 1590-vers 1654)
Référence : CAHIERS-187
Format :
21x29,7 cm
Reliure : Broché
10,70 € TTC
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Artus AUX-COUSTEAUX
(vers 1590-vers 1654)
Collection :
Chœur
Type d’édition :
Conducteur
Maison d'édition :
Editions du Centre de musique baroque de Versailles
Présentation :
Probablement originaire d’Amiens, Arthus Aux-Cousteaux (ou parfois Hautcousteaux, Arthur ou Arturo), est né autour de 1590. Il reçut son éducation musicale à la basilique de Saint-Quentin sous la direction de Jean de Bournonville. En 1613 il est chanteur haute-contre dans la chapelle de Louis XIII, poste qu’il quitte 14 ans plus tard au profit de la maîtrise de la cathédrale de Noyon. Il succède à son premier maître peu avant sa mort à Saint-Quentin avant d’être nommé, en juin 1634, clerc haute-contre à la Sainte-Chapelle du Palais de Paris. Promu Maître de musique en 1642, il se retire en 1651 comme chanoine à Saint-Jacques-de-l’Hôpital où il restera jusqu’à sa mort.
Outre ces Magnificat que publient les éditions du CMBV, et quelques messes, Artus Aux-Cousteaux publia plusieurs recueils d’air polyphoniques souvent d’une veine comique.
D’un style proche d’Eustache Du Caurroy, Aux-Cousteaux s’inscrit dans la lignée des polyphonistes du XVIe siècle. Les Octo Cantica Divæ Mariæ Virginis Secundum octo modos publiés par la maison Ballard s’adressent à tous les maîtres de chapelle dans des livres de chant adaptés aux pratiques de l’époque où les voix sont considérées dans leur fonction contrapuntique plus qu’harmonique, offrant un large éventail de possibilité d’interprétation.
Seuls les versets pairs ayant été mis en musique, l’éditeur propose l’alternance avec le plain-chant tiré de la partie de ténor des Canticum Virginis Deiparæ de 1655 dont la prosodie a été transcrite par Jean-Yves Hameline. L’on peut également alterner avec les versets impairs du Magnificat primi toni de Jehan Titelouze par exemple.
Outre ces Magnificat que publient les éditions du CMBV, et quelques messes, Artus Aux-Cousteaux publia plusieurs recueils d’air polyphoniques souvent d’une veine comique.
D’un style proche d’Eustache Du Caurroy, Aux-Cousteaux s’inscrit dans la lignée des polyphonistes du XVIe siècle. Les Octo Cantica Divæ Mariæ Virginis Secundum octo modos publiés par la maison Ballard s’adressent à tous les maîtres de chapelle dans des livres de chant adaptés aux pratiques de l’époque où les voix sont considérées dans leur fonction contrapuntique plus qu’harmonique, offrant un large éventail de possibilité d’interprétation.
Seuls les versets pairs ayant été mis en musique, l’éditeur propose l’alternance avec le plain-chant tiré de la partie de ténor des Canticum Virginis Deiparæ de 1655 dont la prosodie a été transcrite par Jean-Yves Hameline. L’on peut également alterner avec les versets impairs du Magnificat primi toni de Jehan Titelouze par exemple.
Pagination :
12
Date de parution :
2009-07
Introduction (langue) :
Français
ISMN 979-0-56016-187-7
Les œuvres
Langue du texte :
Latin
Genre :
motet
Temps liturgique
Ton :
sol mineur (modal)
Durée :
moins de 10'