Partition
Messe à 4 parties
Pierre DESVIGNES
(1764-1827)
Référence : CAHIERS-91
Format :
21x29,7 cm
Reliure : Broché
16,40 € TTC
En stock
Pierre DESVIGNES
(1764-1827)
Editeur(s) :
Michel CUVELIER
Collection :
Chœur
Type d’édition :
Conducteur
Maison d'édition :
Editions du Centre de musique baroque de Versailles
Présentation :
Voici l'œuvre d'un tout jeune compositeur, Pierre Desvignes (1764-1827), qui offre, après ses années de formation à la maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne de Dijon, sa première composition au chapitre en 1780. L'effectif de cette messe, somme toute modeste (4 solistes - dessus, haute-contre, taille et basse - un chœur à 4 parties - dessus divisés, haute-contre, taille et basse - un basson concertant et la basse continue) nécessite des musiciens de bon niveau : les registres sont exploités dans toute leur tessiture en solo, en duo et en trio, les effets fourmillent entre les ornements, les forte-piano, les pianissimo et les fortissimo, les ruptures de rythmes et les modulations continuelles. Le compositeur, d'une rare précision pour l'expressivité du phrasé, propose également des coupes quand la tessiture est trop tendue (contre ut aux sopranos). L'œuvre est vraiment étonnante, partagée entre le conservatisme de l'effectif et la modernité de l'écriture. Desvignes poursuivra une belle carrière musicale : nommé en 1793 professeur au Conservatoire de Musique de Paris nouvellement fondé, il devient maître de chapelle de Notre-Dame de Paris sous la Restauration et chef adjoint de la chapelle de Napoléon 1er ; il s'est également essayé à la musique profane et notamment lyrique.
Pagination :
40
Date de parution :
2005-03
Introduction (langue) :
Français
ISMN 979-0-56016-091-7
Les œuvres
Langue du texte :
Latin
Genre :
messe
Temps liturgique :
Messe
Ton :
ré mineur
Durée :
entre 20' et 29'
Mise en place :
Difficile
Niveau général :
Difficile
Commentaire :
Cette messe, très fraîche d'inspiration, composée dans un style classique très pur, est la première œuvre connue d'un des plus grands maîtres de la musique religieuse du temps de Beethoven.
En l'absence de basson, on pourra opter pour un violoncelle ; pour la basse continue, on préférera l'orgue, bien que le clavecin convienne aussi. La fugue "allegro" sur Quoniam tu solus sanctus est du meilleur effet.
Contrepoint :
Moyen
Rythme :
Moyen
Tessitures :
Difficile