Partition
Regina coeli
André CAMPRA
(1660-1744)
Référence : CAHIERS-217
Format :
22,5x31 cm
Reliure : Broché
23,50 € TTC
En stock
André CAMPRA
(1660-1744)
Editeur(s) :
Louis CASTELAIN
Collection :
Chœur et orchestre
Type d’édition :
Conducteur
Maison d'édition :
Editions du Centre de musique baroque de Versailles
Présentation :
Né en 1660, André Campra étudia la musique avec Guillaume Poitevin, maître de chapelle à la maîtrise Saint-Sauveur de la cathédrale d’Aix en Provence qui forma plusieurs musiciens de grand renom (dont Jean Gilles). À sa sortie, ayant obtenu sa prêtrise, Campra, dont la vie semble mouvementée, obtient plusieurs nominations dans le sud de la France. En 1694 il rejoint Paris et obtient la maîtrise de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il en démissionne en 1700 pour se consacrer librement à une carrière lyrique toute aussi exceptionnelle qui le conduira à la direction de l’Académie royale de musique en 1730. Philippe d’Orléans lui confie en 1723 l’un des quartiers de la Chapelle royale en remplacement de Lalande. Campra y compose ou remanie la plupart des grands motets qui nous sont parvenus. Il meurt en 1744.
Le manuscrit autographe de ce grand motet appartient au fonds de la Bibliothèque du Conservatoire (Paris). Il mentionne « 1724 », probablement la date de composition du motet. À cette époque Campra a repris depuis un an un « quartier » de Michel-Richard de Lalande à la tête de la musique de la chapelle royale de Versailles. Ce motet doit remplacer l'antienne mariale de son prédécesseur dont il s'inspire fortement, notamment le verset « Ora pro nobis Deum, alleluia ». Il est caractérisé par un langage harmonique affirmé qui utilise par exemple de nombreux de retards amenant des superpositions peu communes. Son orchestration conserve la couleur si particulière à Campra, rendant ce grand motet versaillais, très court, une œuvre particulièrement intéressante à l’interprétation.
Le motet fait intervenir 3 chanteurs solistes (haute-contre, taille et basse-taille), un chœur à 5 parties « à la française » (dessus divisés, hautes-contre, tailles, basses-tailles et basses) et un orchestre à 4 parties de cordes « à la française » (dessus, hautes-contre, tailles et basses de violon) avec bois et basse continue.
Le manuscrit autographe de ce grand motet appartient au fonds de la Bibliothèque du Conservatoire (Paris). Il mentionne « 1724 », probablement la date de composition du motet. À cette époque Campra a repris depuis un an un « quartier » de Michel-Richard de Lalande à la tête de la musique de la chapelle royale de Versailles. Ce motet doit remplacer l'antienne mariale de son prédécesseur dont il s'inspire fortement, notamment le verset « Ora pro nobis Deum, alleluia ». Il est caractérisé par un langage harmonique affirmé qui utilise par exemple de nombreux de retards amenant des superpositions peu communes. Son orchestration conserve la couleur si particulière à Campra, rendant ce grand motet versaillais, très court, une œuvre particulièrement intéressante à l’interprétation.
Le motet fait intervenir 3 chanteurs solistes (haute-contre, taille et basse-taille), un chœur à 5 parties « à la française » (dessus divisés, hautes-contre, tailles, basses-tailles et basses) et un orchestre à 4 parties de cordes « à la française » (dessus, hautes-contre, tailles et basses de violon) avec bois et basse continue.
Pagination :
23
Date de parution :
2010-06
Introduction (langue) :
Français
ISMN 979-0-56016-217-1
Les œuvres
Langue du texte :
Latin
Genre :
motet
Temps liturgique
Prière à la Vierge
Ton :
La Majeur
Durée :
entre 10' et 19'